Trois mois après avoir lancé Sparkier, je me retrouve à répondre à cette question plusieurs fois par jour. Autant l'écrire proprement.

Sparkier est la réponse que nous aurions aimé avoir lors de la création de notre première entreprise.

Le sujet stratégique qui traîne

En tant que dirigeant d'une entreprise, vous avez régulièrement ce « sujet qui vous trotte dans la tête sous la douche le matin ». Vous ne savez pas comment le prendre, mais vous savez qu'il y a un point à traiter : une priorité commerciale à donner, un sujet RH à traiter, une contrainte technique qui approche. Le sujet est touffu, on sent les ramifications multiples.

Dans l'idéal, vous avez quelqu'un de confiance à qui déléguer. Dans la pratique, tout le monde est surchargé par l'opérationnel et personne ne pourra prendre en charge ce sujet qui, pourtant, sera très important dans trois mois.

C'est là qu'une grande entreprise fait appel à un cabinet de conseil en stratégie. Pour plusieurs dizaines de milliers d'euros, un rapport est rendu au bout de trois mois, indiquant la marche à suivre la plus logique. Seules 10 % des idées du rapport serviront réellement, mais au moins le sujet aura été cadré et traité.

Des sessions efficaces

Sparkier est la réponse efficace à ces questions stratégiques de dirigeants.

Des sessions de conseil en stratégie à la demande. Conçues par des consultants experts pour répondre à ces problématiques lors d'un échange d'une à deux heures.

Entre la réponse non validée d'un ChatGPT et les diapositives théoriques du cabinet de conseil. Un conseil pragmatique, argumenté, débloquant le sujet du moment.

L'IA pour fluidifier

L'un des défis d'une prestation de conseil sur une heure est d'arriver à comprendre le contexte, le synthétiser et apporter une réponse en un temps court.

L'IA simplifie le recueil du contexte et permet au consultant de se concentrer sur son expérience et la manière d'aider l'entreprise.

En conclusion

Sparkier est donc un moyen pour un dirigeant de débloquer des sujets, par un conseil efficace.

Pensez aux trois dernières semaines. Quels sont les sujets qui n'avancent pas ? Des sujets de stratégie commerciale, de RH ou des décisions d'achats noyées par le quotidien.

Pourquoi l'article est intitulé « Partie 1 » ? Parce qu'il y en a une seconde...